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Poèmes

Durham et les tailleurs de pierre

Durham et les tailleurs de pierre

Le nez en l’air, j’admire les voûtes en ogive. Leur élévation. La verticalité de l’ensemble accentuent la hauteur de l’édifice. Je me sens minuscule, comme perdue dans l’immensité de la voûte céleste. J’aime cette atmosphère chargée de fines vibrations, l’odeur de la roche mâtinée d’encens, le bruit des pas sourds des pèlerins mêlé à celui plus ancien des burins, tailleurs de pierre.

Le haïku des clés

Le haïku des clés

Clé de Sol - ras l’bol Pluie, vent froid d’hiver, neige Les amours folles volent Clé de Do,...

Mon Pays

Mon pays a longtemps été un désert sans horizon. Aujourd’hui cela n’est plus. Mon pays est aussi...

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